On termine notre tour d’horizon sur la faune marine avec un petit mot sur la pollution des océans, eh oui.
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Lisibilité : M. Fontaine : « Le phoque à capuchon. Le phoque gris. » « Nous, les humains, avons des impacts, qu’on le veuille ou non! Vous savez, même les Inuits, malgré leur mode de vie, ont laissé leur empreinte: ils ont pollué plein de lacs. » « Ici, sur vos belles Îles, vous vous sentez à l’abri de la pollution, hein? Peut-être en êtes-vous plutôt à la source? » « Bon, je ne vous ai pas parlé des requins… ni des anémones… »
« Ni des oiseaux. »
Lisibilité : M. Fontaine : « Il y a plusieurs sources de pollution de nos océans. » « La pollution physique, ou matérielle. Comme le cas de Tryphon. » « Ou les sacs de plastique, ingérés par les bêtes. » « Il y a la pollution organique. Les eaux usées envoyées à la mer avec leurs bactéries… leurs détergents et même… leurs engrais! »
Schéma: Zone hypoxique autour de l’archipel. Engrais = + d’algues = + de bactéries = moins d’oxygène = HYPOXIE des fonds marins.
Lisibilité : M. Fontaine : « Et puis il y a la pollution chimique : dégazage et déballastage. Des navires, remplis de produits toxiques, comme du pétrole, lavent leurs cuves en se promenant portes ouvertes dans l’océan. C’est illégal. « Mais on ne peut rien faire pour empêcher ça » qu’on nous dit… FOUTAISE! Regardez-moi cette traînée facilement détectable par satellite! »
Lisibilité : M. Fontaine : « Et nos élus, là, ils font quoi? Notre seul recours c’est de les VIRER! ET RÉGULIÈREMENT! » « Et puis de faire de petits gestes conscients… qui nous rappellent qu’on peut encore agir… »
Fin de la 2e chronique pétrolière. À la semaine prochaine!